Vous prie de bien vouloir prendre votre temps de suivre attentivement la démonstration d'un expert en matières électroniques sur https://www.youtube.com/watch?v=k8l0mCL2Yjk et vous comprendrais le souci de notre cris d'alarme relatif aux élections à venir telles que Naanga nous l'offre je vous prie SVP, SVP et SVP de bien suivre très attentivement la démonstration des fameuses machines à voter el kabilistes, et relisez ma note du cri d'alarme "Quoi faire après la publication du vrai/faux dauphin du PPRD-FCC? sur http://kongolibre.over-blog.com/2018/08/quoi-faire-apres-la-publication-du-vrai/faux-dauphin-de-pprd-fcc.html ‘ En conclusion MOBILISONS, MOBILISONS, et MOBILISONS…
Quoi faire après la publication du vrai/faux dauphin de PPRD-FCC?
Par Diamena-Lema Matundu
Publie le Jeudi, 9 Aout 2018
Apres la publication du nom d’Emmanuel Shadari comme dauphin du PPRD-FCC, fruit d’une pression sans relâche des activistes des forces du changement depuis fin 2015, au cas où la nomination est authentique, les Congolais doivent maintenant lutter pour une Transition Sans Kabila (TSK) enfin d’organiser des élections crédibles libres et transparentes, sinon serait de jouer le jeu de la kabilie (où tout est déjà gagné d'avance) de s’engager aux élections dans sa configuration actuelle où le fichier électoral est corrompu avec ses machines à voter à la fois non réglementées et prouvées de la fiabilité.
Un compatriote écrira ce qui suit :
"Dans sa configuration actuelle la CENI de corneille nangaa au service de la kabilie ne peut en aucun cas donner la victoire à l'opposition même si elle se choisit un candidat unique.
Cessons d'être dupes"
En fait, le grand travail vient que de commencer, toutes les forces du changement en général, et signataires du ‘Manifeste du Citoyen Congolais’ en particulier, doivent maintenant intensifier la pression pour :
Participer à la gestion ou s’organiser en contre-gestion de la CENI.
Veuillez et lutter pour que le fichier électoral soit nettoyé de toutes irrégularités (d’un taux variant de 15 à 23% suivant les rapports des experts)
Soit faire annuler l’utilisation des machines à voter ou soit s'assurer de sa fiabilité.
Sans succès des démarches ci-dessus et dans un délai très bref compte tenu du facteur temps, ça ne servira à rien d'aller aux élections trafiquées d'avance avec l'intention de les contester après la publication des résultats ! L’expérience mondiale démontre que la probabilité de faire changer l'ordre des résultats publiés est trop faible et surtout que la kabilie a au préalable taillé toutes les institutions relatives sur mesure ; partant de la cours constitutionnelle (organe compétente de la réception et traitement des recours) jusqu’à la ceinture de sécurité.
Supposons qu’Emmanuel Shadari soit réellement le dauphin d’alias Joseph Kabila tel que présenté par Lambert Mende, et cela est la toute premiers fois, après plus d’une décennie que la majorité des congolais fasse confiance aux dires de l’individu Mende. Sur ce même tableau, un autre compatriote écrira ce qui suit :
"ndakala oyo penza soki ba tie ye na esobe, nako vote na nga esobe po naza na confiace n'ango pona biloko yakolia"
Ceci pour dire simplement qu’avec les élections crédibles, pacifiques, libres, inclusives, et transparentes, le fameux dauphin risque de ne pas avoir plus de 5% pour les raisons entre autres manque de charisme et popularité malgré tous les paquets disponibles et/ou à disposer par sa famille ‘politique’. Comme devoir, suffirait de faire un simple calcul mental de la potentialité de sa mobilisation des voix par province, ceci sans doute justifierait la thèse de l'incapacité du dauphin de remporter les élections crédibles même avec les candidats dit de l'opposition dispersés tels que présentés sur la dernière liste des dépôts à ce jour (chacun des ténors desdits partis, peut de loin mobiliser plus des voix seul que le fameux dauphin défavorisé dès le départ par sa couleur PPRD-FCC qui est antipathique dans plusieurs coins du pays), Toutefois la coalition des partis politique est toujours vivement souhaitée, partout dans le monde, elle est l’une des stratégies efficaces pour remporter les élections, la RD-Congo ne fera pas d’exception avec sa loi électorale d’un tour des scrutins, tout politicien digne de nom doit en âme et conscience s’investir à ce propos.
Néanmoins, la priorité aujourd’hui n'est pas dans la coalition ou la candidature unique (quoi servirait d’avoir un candidat unique avec plus de 10 millions des voix qui sont au préalable dans la poche/le comptoir du dauphin ?), plutôt devons en premier lieu réunir nos énergies pour faire pression enfin qu’on organise des crédibles avec une forte possibilité que cette démarche nous amène à une TSK sur base du ‘Manifeste du Citoyen congolais’. Avec pressions nous finirons certainement par arracher cette TSK comme avons pu écarter (jusqu’à la preuve du contraire) par cette même voie pacifique alias Joseph Kabila de la course électorale! Aucune arme n’est à ce jour capable de stopper TOUT UN PEUPLE DÉTERMINÉ.
D'où profitons de l’occasion de la publication du vrai/faux dauphin pour MOBILISER nos activistes enfin de prendre part à toute manifestation à ce propos et surtout ÉVITONS, ÉVITONS et ÉVITONS de continuer de faire la complicité de la kabilie d’endormir le peuple par des diversions et divisions, et le silence qui garde les activistes dans le flou total et confusion, ainsi que de donner ou obéir/exécuter aux/les contre-ordres pour maintenir le statu quo kabiliste. MOBILISONS, MOBILISONS, ET MOBILISONS.
Déterminer une succession, voilà un problème et un défi que l'Africain en général et le Congolais en particulier doit résoudre au plus vite.
Ce n'est pas normale que largement en Afrique nos organisations, groupes, parties, associations, entreprises à caractère politique, commerciale, religieux, familiale, musicale et autres n'arrivent pas à déterminer leur propre successeurs après la fin du mandat de ceux-ci de façon automatique, régis et dicté par leur propre constitutions, législations et règlements intérieures. On dirait que les textes et le procédures de succession sont beaux à lire sur papier seulement. Et quand il en vient à procéder à leur application, c' est la confussion et la division qui installent, l' intolérance des textes et procédures existant, la débâcle. Les structures en place sont bafouées.
Comment est-ce que la MP, avec sa FCC et tous les intellos, gardent tout un pays en hotage en ce qui concerne leur candidat à la présidentiel jusqu' au dernier jour, à quelque heures de la clôture du dépôt des candidatures à la présidentiel du 23 Décembre? Pourquoi n' avoir pas mis la constitution de la MP en application pour un successeur, le dauphin de JKK, et le nouveau comité directeur, quand la CENI avait annoncé les élections pour le 23 Décembre 2018? Pourquoi un zombo le soir?
Pourquoi l'UDPS ne pouvait pas se choisir un nouveau président et comité directeur après la mort du feu Président Tshisekedi, qui lui même a été président de son partie pour plus de 30 ans? Pourquoi s'en est-il ensuit une division après la mort du sphinx et voyant Tshibala, comme président d'une fraction à la solde du pouvoir, et Félix, d'un autre côté, élu président d'une autre fraction dit de l' opposition? Sans oublier Samy Badibanga qui a maintanant son propre partie politique. Où sont passé Remi Masamba, Mubake et autres qui étaient vu comme leaders dans le partie?
Bemba fait la prison pendant 11ans accussé des crimes de guerre, et pendant ce temps là toujours président du MLC, Bazaiba toujours secrétaire général? Le mandat du président d'un partie politique comme le MLC est de 11ans?
Que dire des compagnies familles qui sont ruinées quand Papa, le fondateur de la compagnie, meurt? Kalonji SPRL, Maison Ilunga??
GUERRE SANS MERCI À L'INCONSCIENCE CITOYENNE OU LE DÉFI DE LA PRISE DE CONSCIENCE NATIONALE.
Si la notion de la liberté humaine ou de la valeur humaine implique la responsabilité de l'homme à poser des actes et répondre de ses actes, le recours à la notion d'inconscient ou l'inconscience peut-elle excuser et justifier la faute ?
Pour pouvoir répondre à cette question qui demeure un débat entre les scientifiques, les philosophes et les psychanalystes en particulier Freud, il faudrait avant tout noter que l'être humain est responsable et maître de ses choix, de ses actes et de lui-même. Reconnaître l'inconscience ne serait donc qu'un acte d'abdication, de capitulation, de renonciation ou carrément de la chute, du déclin et de la faillite de l'homme; l'irresponsabilité humaine.
Il devient donc nécessaire pour comprendre la situation que vit notre peuple de saisir la démarche de la classe politicienne congolaise dans son ensemble pour discerner sa déliquescence et sa principale caractéristique d'irresponsabilité qui ne peut plus intriguer ni les regards ni les réflexions. Gustave Le Bon nous apprend qu'il faut parfois longtemps pour qu'une vérité démontrée devienne une vérité acceptée". Nous n'allons certainement pas nous arrêter en chemin et ne plus nous donner la peine de dépeindre à juste titre cette comédie nationale dénommée classe politique au Congo, au nom de la courtoisie, de la tolérance idiote, du respect des fourbes et de l'hypocrisie nationale. Plusieurs parmi nous, peuple congolais, croient lutter sans jamais se remettre en question ni s'interroger sur ce qu'ils appellent; lutte ou combat. Une lutte qui dure plus de 20 ans sans changer de forme ou prendre une nouvelle dimension n'est plus une lutte, c'est une soumission. Voilà une vérité qui doit fâcher, elle prendra certainement du temps pour être acceptée, mais la réalité est que notre peuple est soumis à la médiocrité et à l'impuissance, et pire à la mort par les uns et les autres.
Lorsque je regarde le théâtre politicien qui se déroule ces jours-ci au Congo associé au délire de notre peuple qui va grandissant, il ne serait plus loin que les voix s'accordent pour donner raison à Freud sur l'existence d'une partie obscure de nous-mêmes ou d'un autre maitre que soi qui vivrait en nous.
Si Molière disait que le but de la comédie est de corriger les vices des hommes en les divertissant, quel est donc le but de ce long théâtre burlesque et de cette tragédie à la fois satirique et sanglante qui perdurent au Congo?
En faisant rire ses spectateurs, Molière n'avait pour but que de tourner en ridicule les travers humains. Il disait: "On veut bien être méchant, mais on ne veut pas être ridicule." Cependant au Congo, ceux qui sont sur la scène politique sont non seulement méchants, mais ils sont ridicules. Le comble est que le peuple applaudisse à chacune de leurs bêtises et en veut encore plus.
Les politiques congolais, toutes tendances confondues, nous ont abreuvés pendant plus de 20 ans du discours de la démocratie au Congo, malgré que notre peuple meurt chaque jour et chaque nuit pour ses droits et libertés. Mais si le Congo était une démocratie à laquelle ils prennent tous part et pour laquelle, ils veulent encore entraîner le peuple à d'autres élections, comment se fait-il que des millions de Congolais y sont-ils massacrés sans qu'une simple parodie de justice puisse faire cesser l'écoulement du sang congolais?
Ils vont et viennent parader sur la misère du peuple. Quelques congolais meurent, sans qu'ils s'en soucient. Ils repartent et reviendront encore parader au milieu des morts. Et le peuple congolais condamné à mort ne s'en rend pas compte et s'apprête encore à mourir pour un Messie ou un Igbe en pacotilles, vampire et buveur de sang.
À l'époque de Mobutu, tout le monde semblait être déterminé à en finir avec lui, mais étrangement après son départ, tout le monde semble encore et toujours déterminé à en finir avec ce régime sans vraiment l'identifier, mais le limitant à un pauvre inculte imposteur. Comme si son départ allait changer quoi que ce soit au Congo. Lorsque je regarde les Congolais en délire s'éclater en euphorie dans une folie heureuse pour accompagner celui que Museveni et Kagamé ont introduit sur la scène politique congolaise comme l'imposteur au pouvoir et encore se faire prendre au jeu d'un autre charlatan qui a pillé les caisses du Katanga en complicité avec le même minable imposteur au pouvoir, je suis prêt à vous redire la même vérité, que cela vous offense ou pas, personne ne lutte au Congo. Les Congolais et leur classe politique sans distinction aucune accompagnent ce régime d'imposture qui massacre notre population depuis qu'ils sont entrés dans notre pays en bottes de caoutchouc. Est-ce dû aux phénomènes psychiques liés à la notion d'inconscient de Freud pour faire du Congolais, un être qui ne serait plus responsable?
Ai-je raison? Ai-je tort? Dois-je me résigner? Subir? Changer moi-même?… il est grand temps que chacun de nous se remette en question tout en acceptant que les moments charnières de notre existence ne soient pas des « crises » mais des occasions de nous épanouir, nous dit le psychiatre Christophe Fauré. "D’une façon plus générale, se remettre en question ne signifie pas sempiternellement douter de soi", nous dit le psychanalyste Marie-Jean Sauret.
Est-il déshonorant d'avouer ses limites et de sortir du carcan dans lequel l'on s'est enfermé après des dizaines d'années dans "les chaines de l’esclavage politicien que nous vivons maintenant, et que nous nous cachons à nous-mêmes, par honte, par désespoir ou par simple faiblesse humaine"?
Il est temps que chaque Congolais sorte de la naïveté, de l'amnésie et du désespoir, en un mot de l'hallucination collective. Le pouvoir au Congo n'est pas dans les urnes. Au Congo, le pouvoir n'est pas à ramasser aux élections, mais à arracher au prix d'un grand sacrifice, de discipline et d'engagement.
Ce régime ne tombera que lorsque nous serons capables de lui opposer un rapport de force égal.
Et ce rapport de force égal ne peut être mis en action que lorsque nous prendrions conscience de sortir des chaînes de l'esclavage politicien. 21 ans d'occupation, 58 ans d'errance, quelle que soit la détermination du peuple, sans PRISE DE CONSCIENCE CITOYENNE ET NATIONALE, le Congo sortira de la dépression pour s'enfoncer dans le désespoir oscillant sans cesse entre l'état dépressif sévère et l'asthénie généralisée.
Nous avons tous le devoir de libérer notre pays. Mais acceptons d'abord que sans prise de conscience citoyenne individuelle et nationale, le Congo demeurera une cage à esclaves où les colonisés joueront le rôle des colons sans comprendre qu'ils sont autant esclaves que leurs sujets sur lesquels ils marchent sans état d'âme.
Remettons-nous tous en question, car nous avons tous failli quelque part!
SI LA FAILLITE DU CONGO EST D'ORIGINE POLITIQUE, ELLE A DÉJÀ GANGRENÉ TOUTE LA SOCIÉTÉ CONGOLAISE ET RUINÉ TOUTE LA CONSCIENCE NATIONALE.
Seule LA PRISE DE CONSCIENCE NATIONALE nous conduira au sursaut national!
Pour rassurer le Président chinois Xi Jin Ping qui y séjourne au Rwanda, Kigali a démenti, le week-end dernier, toute incursion armée en territoire rwandais. Le 2 juillet 2018, la police rwandaise avait reconnu ces incursions, tout dernièrement, Paul Kagame avait averti aussi bien ses opposants armés que les voisins du Rwanda d’une éventuelle réplique à ces attaques. La région des Grands Lacs assiste ainsi au pourrissement de sa situation sécuritaire dans l’indifférence totale de ceux qui préparent des attaques contre la RDC, mais feignent de craindre que cela déstabilise la région.
Dans un communiqué diffusé en début du week-end dernier, soit à la veille de l’arrivée du Président chinois Xi Jin Ping, le Gouvernement rwandais a démenti les informations faisant état d’incursions armées et de la présence de groupes rebelles sur le territoire du Rwanda. Kigali réagissait ainsi à des informations émanant de plusieurs sources et faisant état d’attaques menées par un nouveau mouvement rebelle rwandais – le Mouvement rwandais pour le changement démocratique (MRCD) – à partir du Burndi. Ce démenti faisait suite à un communiqué de l’armée rwandaise – la Force de défense nationale du Burundi (FDNB) – qui, en date du 10 juillet 2018, assurait qu’« aucun mouvement ni trace d’éléments armés n’ont été constatés par les unités de la FDNB déployées sur la frontière du Burundi avec le Rwanda ».
Opération de com’ pour rassurer Pékin
Ces démentis n’ont, cependant, fait que raviver la curiosité de l’opinion sur ce qui se passe réellement au Rwanda. Des démentis que l’on n’hésite pas à placer sur le compte d’une com’ visant à rassurer Pékin dont le Chef de l’Etat est arrivé le week end dernier à Kigali. Un séjour entouré d’un battage médiatique occidental qui en dit tout aussi long avec le contraste observé par le quasi-silence de ces mêmes médias occidentaux sur les informations relatifs aussi bien à la naissance d’un mouvement rebelle anti-Kagame qu’à des attaques perpétrés dernières sur le territoire rwandais par cette rébellion.
Ce lundi matin, et depuis hier dimanche d’ailleurs, RFI en a particulièrement donné toute la mesure. D’une part, la radio française souligne et loue la particularité de la coopération sino-rwandaise qui promeut le secteur agricole plutôt que les mines, et, d’autre part, elle fait état (ou rappel) de la disparition d’un journaliste au Burundi ainsi que des combats à Beni (Nord-Kivu/RDC) entre l’armée congolaise et les terroristes ougandais de l’ADF (RFI parle plutôt de « supposés éléments ADF », la nuance est de taille) et de l’affaire de la spoliation des terres au Sud-Kivu attribuée à la famille Kabila.
Le pourrissement est réel
Cette opération de camouflage d’un pogrom qui pourrait embraser toute la région des Grands Lacs et bien au-delà ne passe pas inaperçue auprès des observateurs avertis qui ne la dissocient pas des velléités occidentales d’une intervention armée en RDC au motif d’y prévenir toute situation en rapport avec le processus électoral qui pourrait conduire à la déstabilisation de la même région. La réalité, sur cette dernière menace, est qu’il s’agit clairement de disqualifier une famille politique – celle du Chef de l’Etat en fonction – sous prétexte que Joseph Kabila ambitionnerait de représenter pour la présidentielle de décembre 2018.
Il est pourtant établi que plusieurs informations soutiennent, depuis quelques semaines, que des infiltrations de groupes armés ont bel et bien eu lieu dans le sud du Rwanda, à la frontière avec le Burundi. Et Kigali l’avait déjà reconnu début juillet à travers un communiqué de la police nationale datée du 2 juillet. Ce communiqué annonçait, en effet, que « le dimanche 1er juillet vers 23 h 30, un groupe armé de fusils [avait] attaqué le district de Nyaruguru [au sud du Rwanda] (…) Le groupe a attaqué à travers la forêt de Nyungwe depuis le Burundi avant de fuir dans la même direction. » Et de poursuivre : « Un incident similaire a eu lieu dans le même district il y a deux semaines ».
Ces informations ont été réitérées et soulignées par un article de Colette Braeckman publié sur son blog en date du 17 juillet et relayé par certains médias dont le Libre Belgique et Le Monde. Notre consoeur écrivait ceci, en effet : « Une première attaque avait déjà eu lieu au sortir de la forêt de Nyungwe, du côté de Kibeho, non loin de la ville de Butare : un groupe de 60 à 120 combattants avaient tué un chef de village, pillé des magasins et recruté de force des civils pour qu’ils portent le butin. Ces hommes, bien organisés et méthodiques, avaient réussi à s’infiltrer à l’insu des troupes chargées de protéger la frontière entre le Rwanda et le Burundi ». Et de poursuivre : « Les populations locales n’ont pas soutenu les assaillants, déclarant à un journaliste belge présent sur place, Marc Hoogsteyns, qu’elles refusaient toute aventure et voulaient vivre en paix. A son retour de l’étranger, le Président rwandais, qui a fait de la sécurité le maître mot de son régime, n’a pas caché sa colère face à cette série d’infiltrations ».
L’on peut donc comprendre que les attaques dont parlait Colette Braeckman sont différentes de celles qu’évoquait la police rwandaise dans son communiqué du 2 juillet 2018. Malgré le dernier démenti de Kigali, qui visait juste à rassurer la délégation chinoise conduite par le Président Xi Jin Ping, les autorités rwandaises prennent la situation bien au sérieux, à commencer par Paul Kagame en personne. En effet, vendredi 13 juillet lors de la cérémonie en l’honneur de la nouvelle promotion de l’académie militaire rwandaise au Camp Gako, le Président rwandais a transmis un message que ses anciens compagnons du FPR, qui sont à la tête de la nouvelle rébellion, ont bien capté : « Tous ceux qui rejoignent l’armée rwandaise sont entraînés pour affronter tous les challenges de notre époque, même les situations inattendues (…). L’armée rwandaise est entraînée à faire la guerre, pas à la lancer (…). Mais si les autres nous considèrent comme [étant] leur problème et choisissent de commencer une guerre contre nous, nous sommes déterminés et entraînés à combattre et en finir avec eux ».
Le silence dangereux (complice ?) de la communauté internationale
Ce message multidirectionnel concerne aussi bien la nouvelle rébellion rwandaise que les voisins directs et indirects du Rwanda (Burundi, RDC et Ouganda) où se prépareraient toutes ces attaques. Le plus curieux est que la communauté internationale semble minimiser cette situation, à moins qu’elle y trouve une opportunité rêvée par voir se perpétrer ce qu’elle attend dans la région – lisez en RDC. Said Djinnit, envoyé spécial pour la même région des Grands Lacs, vient de séjourner au Congo-Brazzaville où le sujet n’a pas été évoqué avec Denis Sassou Nguesso, Président en exercice de la CIRGL, tandis que l’ONU, l’Union Africaine, la Sadc et tant d’autres organisations focalisent leurs inquiétudes sur ce qui passe pour une rumeur en RDC, mais qui constitue réellement une réalité dans des laboratoires occidentaux : une intervention militaire.
C’était vers 14 heures locales de ce Dimanche 22/07/2018, que la Société Civile de Mavivi une localité située dans le groupement Batangi-Mbau, Secteur de Beni-Mbau, Territoire de Beni, Province du Nord-Kivu en RDC à alerté sur la présence de deux corps sans vie des civils tués par les présumés ADF dans cette agglomération.
A en croire les sources locales, ce Dimanche 22 Juillet 2018, il y a eu affrontement entre FARDC et ADF à moins d’un Km à l’Ést du rond point de Ngite-Masulukwede où ces mêmes inciviques avaient encore brulé des maisons récemment, qu’ils ont dans l’avant midi égorgé Kasereka Salumu et fusillé Mulerethi Mutokambali tous âgés de moins de 30 ans et habitants de Mavivi.
La CRDH une structure de droit de l’homme du milieu qui déplore cette deuxième attaque à un seul endroit avec des morts d’hommes et autres dégâts, appelle l’armée loyaliste FARDC et la Monusco à prendre des mesures efficaces pour protéger la population de Mavivi et celle des autres endroits où l’ADF commette des actes criminelles.
C’est depuis 2014, que la localité de Mavivi est victime des incursions et attaques des présumés ADF qui occasionnent chacune des pertes en vies humaines et plusieurs autres dégâts collatéraux.
CHOIX : Foti na biso moko bana ya Congo, kobanda Dipanda nde tozali ko trahir, mpe kosala na bapaya, ata kutu oyo bazali koboma biso… (Kasavubu, Lumumba, na Baudouin, le 29/6/1960… Photo cr.: CVCE)
Bandeko bana ya Mama Congo,
Esengeli tokolisa kokanisa na biso, esengeli tomitala na kitala-tala mpo tomituna motuna oyo, na mokolo mwa lelo na sima ya ba mbula ebele oyo kobanda le 30 juin 1960 :
RESPONSABILITE NA BISO BANKOLO CONGO EZALI NINI NA MABE, BAPASI, LIWA, MPE KI BOWUMBU OYO TOKOMI LELO NA MABOKO YA BA RWANDAIS MPE NA HOLOCAUSTE YA KOLEKA 12 MILLIONS YA BA CONGOLAIS BABOMI ???
NDE TOPESI EYANO AWA MPE TOSENGI MWANA YA CONGO NIONSO AKANISA MPE AMITUNA SOKI EZALI NDENGE TOLOBI NA BO SOOLO, ELINGI KOLOBA NA VERITE OYO EVANDI NA PRINCIPE OYO BISO TOSALELAKA :
[Bo soolo (VERITE)mpe PRINCIPE na biso yango oyo mpo Congo ezala LIBERER mpe etongama mpo na bolamu ya congolais nionso : Mwana ya Congo-Zaire oyo alingi tata na ye, mama na ye, mwana na ye, famille na ye, tribu na ye, village na ye, province na ye, ndinga na ye, mokonzi na ye, lingomba na ye, mbongo, mpe ki mokonzi KOLEKA MAMA CONGO-ZAIRE azali ko MERITER Mama Congo-Zaire te, mpe TOKOKI KOLANDA YE TE, MPE TOKOKI KOSANGANA NA YE TE.]
MPO NA KOBANDA : ndenge toyebisaka Kerwin Mayizo (Bo Clicker na titre oyo elandi bolanda emission yango), biso ba congolais TOYEBI TE HISTOIRE ya soolo-soolo ya mboka na biso. Ba belges bateya biso ba congolais mpe bandeko na bango moko ba belges HISTOIRE ya lokuta ; Elingi koloba ba historiens belges mpe congolais bazwa ba licenses mpe ba doctorats na HISTOIRE YA CONGO YA LOKUTA !… YA MIBALE, to DEMONTRAKI lisusu na emission ya mibale tosalaka na ndeko Kerwin Mayizo ete MBOKA NA BISO CONGO ESI EKEYI, EKOMI NA MABOKO YA BA RWANDAIS. Congolais oyo alobi ezali boye te, ou bien azali na MAYELE TE, ou bien AYEBI MAYE MAZALI KOLEKA NA CONGO TE, ou bien asalelaka POUVOIR D‘OCCUPATION ya ba rwandais mpe azali kokosa ba congolais mpo babundelaka mboka te, ou bien azali kaka ZOBA oyo abengami BOLOLE (ki Bolole oyo ekipaka diplome te, ekipakamosala osalaka te,ekipaka experience te, ekipaka age te, ekipaka expertise ozali na yango te,ekipakaki mokonzi te : Botala kaka ba congolais nionso oyo basalaka mpe ba oyo bazali ba accompagnateurs ya pouvoir ya occupation na Congo mpe na Diaspora !)
2. RESPONSABILITE NA BISO KOBANDA INDEPENDANCE EZALI BOYE:
[Tobanda liboso na Principe oyo elobi ete LES PAYS N‘ONT PAS D‘AMIS, ILS N‘ONT QUE DES INTERETS… Principe ya mibale, ezali ete SOKI BANGUNA BAYE KOSOLOLA NA YO MPO OTEKA MBOKA TO MPE MOKONZI NA YO, OZALI OBLIGE TE OSALA YANGO, OKOKI KOKENDE KOYEBISA NDEKO NA YO MPE BOLUKI BOYOKANA NDENGE NINI BO KO COMBATTRE MONGUNA OYO AYE MPO APANZA BINO…]
Sus base ya ba principes oyo mibale :
A. Na sima ya kozwa independance na 1960, Mobutu asalaka CHOIX : mindele batiyaka Mobutu singa na kingo te mpo a trahir Patrice Lumumba na Joseph Kasavubu mpo asala bango coup mpe a delivrer Lumumba epai ya ba Tshombe mpo bakende koboma ye…. Donc, RESPONSABILITE EZALI YA BISO BA CONGOLAIS!
B. Tango Mobutu akomaki kosala na ba americains na tango ya Guerre Froide, ezalaki na eloko oyo Congo-Zaire azangaki te… Zaire ezalaki na meme niveau ya developement na Coree du Sud… Ngai oyo nazali kokoma awa nasalaki na Citi Bank ya ba americains na Kinshasa na ba 1974 -1976, donc nayebi oyo nazali koloba. Congolais-Zairois oyo azalaki mokolo na tango wana ayebi biloko nini Zaire azalaki na yango mpe niveau ya vie… Motuna : Nionso tozalaka na yango gouvernement ya Mobutu basalaki nini na yango ? Biloko nionso tozalaka na yango tobungisaki yango ndenge nini ? Avant ba rwandais ba envahir na 1996, oyo nionso tozalaka na yango na ba domaines nionso tobungisaki yango ndenge nini ? Ezalaki mindele te bato bayaki kobebisa mboka mpe koteka yango mpe kotika nionso ekufa… Ezalaki CHOIX ya biso mokobana mboka… Donc, RESPONSABILITE EZALI YA BISO BA CONGOLAIS ! FOTI NA BISO MOKO !
Entre Libye ya Khadafi na Zaire ya Mobutu, mboka nini elekaki ba richesses? Ba richesses ya Zaire Mobutu asalaki nini na yango? Tango ba rwandais na ba americains bayaki kobengana ye, niveau ya vie na Zaire ezalaki na niveau nini?
C. Avant invasion ya ba rwandais ya 1996, ba congolais mingi bayebi te histoire oyo : na tango ya CNS (Conference Nationale Souveraine), oyo ezalaki supporter na ba americains mpe ba decidaki Mobutu esengeli akende. Na CNS ba Zairois ba benganaki bapaya rwandais oyo balingaki bamikotisa kuna, mpe ba Zairois basalaka UNION SACREE oyo esangisaki mangomba mpe esprit PATRIOTIQUE mpe NATIONAL. Ba mindele bato bayaki kopanza CNS mpe UNION SACREE ?
Ba 13 Fondateurs ya UDPS, tango ya CNS, il fallait basala CHOIXbapona nani akokamba gouvernement mpo na mboka ekota na Democratie.
Mpo na nini ba Fondateurs baponaka Etienne Tshisekedi mpo a former gouvernement ya transition ata ko Etienne Thsisekedi TE moto azwaki IDEE ya ko fonder UDPS, mpe YE TE moto azalaki meme na bokomi ya lettre oyo ba 13 Fondateurs bakomelaka Mobutu, mpe YE TE moto azalaki VOTER President ya UDPS? Etienne Tshisekedi a FONDAKA eloko moko te, mpe azalaka VOTER president ya eloko moko te. TINA BANINGA BAPONAKA YE AZALA Premier Ministre ezali oyo : Lokola bayebaka ete Tshitshi azalaka AMI ya Mobutu kobandana ba 1965, yango baninga bakanisaka que Tshitshi azalaka SINCERE na etumba mpo mboka ekota na DEMOCRATIE, yango wana balobaki na Tshitshi akoma 1er ministre mpo ayebaki Mobutu, donc, akoyeba kotelemela Mobutu… Nzoka nde ETIENNE TSHISEKEDI na moyi azalaki kotelemela Mobutu, kasi na butu azali koyokana mpe koliya esika moko na ami na ye Mobutu : TRAHISON nde yango wana ! Etienne Tshisekedi azali mondele ou congolais? Donc, RESPONSABILITE EZALI YA BISO BA CONGOLAIS !
Non seulement Tshitshi asalaki TRAHISON na confiance baninga ba Fondateurs mpe peuple congolais bapesaka ye, yango wana gouvernement na ye ekendeke NUL PART, kasi ye mpe moto APANZAKI UDPS mpo na lokoso ya POUVOIR, mpe motema LIKUNYA mpo ye TE ba Fondateurs baponaka ye President ya UDPS… Yango abengisaka REUNION na ndako na ye ya Limete mpo ete asala “COUP” abotola ki presidence ya UDPS epai ya moto oyo azalaka VOTER na baninga nionso mpo akamba UDPS mpe UNION SACREE : KIBASA MALIBA !Foti ya biso moko bankolo mboka !
D. Kobanda bopanzi ya UDPS mpe ko fuarer ya gouvernement ya transition mpe invasion ya ba rwandais na ba ougandais oyo ezalaki supporter na ba americains, nionso wana ezalaki mpo BISO MOKO BA CONGOLAIS, KOBANDA MOBUTU SESE SEKO MPE TSHISEKEDI WA MULUMBA, TOBOMI NIONSO TOZALAKA NA YANGO, TOPANZI LISANGA MPO NA LOKOSO YA POUVOIR, MPE TANGO BAPAYA BA ENVAHIR MBOKA, TO TRAHIR MBOKA, TO SANGANI NA BAPAYA, BA RWANDAIS, MPE TOTIKI BANGO BAKOTA MPE BAKAMBA MBOKA YA CONGO. Yango na bozoba mpe na lokuta tokoma koloba lokola ete biso moko bankolo mboka tozalaki NA CHOIX TE ; TRAHISON BISO MOKO tosala tokoma kotiya yango NA COMPTE YA “BA DECIDEURS”, ya Mindele !… Ba rwandais bazali mindele te, Kigali ezali Bruxelles to mpe Washington te !
CONGOLAIS NIONSO OYO AZALI KOSALA NA GOUVERNEMENT YA BA RWANDAIS OYO EZALI KOKAMBAMA NA HYPPOLITE KANAMBE (MOYIBI YA KOMBO MPE MOBOMI) AZALI TRAITRE DIRECTE ; CONGOLAIS NIONSO OYO AZALI “OPPOSANT” YA GOUVERNEMENT YA OCCUPATION NA CONGO AZALI TRAITRE INDIRECTE ! CONGOLAIS NIONSO NA DIASPORA OYO AZALI KO SUPPORTER OU GOUVERNEMENT D´OCCUPATION OU BA PARTIS POLITIQUES YA OPPOSITION NA CONGO AZALI ACCOMPAGNATEUR NA TRAHISONYA MBOKA !
VERITE HISTORIQUE YANGO OYO : MBOKA SOKI EZALI OCCUPE EZALAKA JAMAIS LIBERE NA ELECTIONS, NA BA ACCORDS, TO MPE NA BA MARCHES, TO MPE NA SOULEVEMENT POPULAIRE ! BA CONGOLAIS TO COMPRENDRE : TO KO RE-INVENTER LA ROUE TE !!! NANI AYEBI TE NDENGE NINI FRANCE OCCUPEE EZALAKA LIBERER ?
SOLUTION MPO TO RECUPERERMBOKA EZALI MOKO : KOLUKA BA ALLIES, MIKILI OYO BAKOLINGA KOKENDE NA BISO BANKOLO MBOKA KOBUNDA MPO TOBENGANA BA RWANDAIS… (Mindele bazali koliya mpe koyiba na sima ya ba rwandais oyo bazali koboma mpe koniokolo, mpe ko controler ba politichiens NIONSO na Congo — LOKUTA ete Communaute Internationale to ba decideurs bazali kotiya pression na ba congolais !… Ndenge kaka TRAHISON ebanda kobanda independance, tozali na CHOIX ya koboya TRAHISON, koboya PRESSION, mpe koboya COLLABORATION na banguna ndenge Charles de Gaule na baninga na ye baboyaka)….
Que vous m’aimiez ou me détestiez, je ne recherche ni la sympathie des uns ni l’indifférence des autres. Je ne cherche pas non plus à régner sur les médiocres. Laissez-moi au moins, d’une main torturer les inconscients, et de l’autre réveiller ceux qui n’y croyaient plus.
Cessons de tromper le peuple congolais, le Congo n’est pas sous la dictature d’un individu, le Congo est occupé, mis sous tutelle pour un agenda machiavélique qui échappe aux communs des mortels et subit les pires tourments qu’aucun peuple n’a subi durant toute son histoire. Il n’y a certainement plus d’espérance pour le Congo surtout en ce temps où l’élite congolaise signe sans vergogne les accords ténébreux de la Fosse Commune Congolaise, mais l’avenir du peuple congolais doit nous préoccuper tous. Si le peuple congolais ne prend pas conscience de sa condition humaine et nationale, le Congo est perdu à jamais avec la ventripotence politique.
Et ce chemin de la prise de conscience nationale se résume en cette réflexion de Tchicaya Utam’si : « Je n’arrivais pas à savoir d’où je venais, où j’allais et ce que je faisais là. »
Pendant que le Congo traverse les affres de la mort, engageons-nous donc à ne plus l'abandonner jusqu'à son dernier souffle. Tout ce que nous avons fait jusque-là n’a pas aidé à sortir le Congo de son coma. Changeons donc de fusil d’épaule tant qu’il est encore temps pour ne pas assister impuissants à son agonie finale dans nos bras. Acceptons de prendre conscience, de changer nos mentalités et de nous aimer les uns les autres.
« On ne peut pas se contenter d'être optimiste ou pessimiste. L'optimiste et le pessimiste sont des spectateurs, or il faut jouer le match. Nous, nous sommes des joueurs. »
<<Quand il est arrivé, je me suis présenté en disant : "moi c'est Major Paul".
Il m'a dit : "moi c'est Floribert Chebeya, le Secrétaire Exécutif de la Voix des Sans Voix, j'ai rendez-vous avec le Général Numbi".
Je lui ai dit que le Général Numbi ne reviendra pas aujourd'hui.
Il m'a dit : "non non, j'ai la confirmation qu'il va revenir d'ici peu".
Je suis resté avec lui, on est resté parler de beaucoup de choses. J'ai vu qu'il avait des documents dans ses bras, en jetant les yeux, j'ai lu un passage là ou on a écrit : "le rapport concernant les massacres de Bundu Dia Congo au bas congo". J'ai compris qu'il avait un rapport secret à remettre à John Numbi. Et c'est pourquoi il était venu avec le Major Christian, parce que ce dernier et les autres sont concernés par ces massacres.
Le temps que je parlais avec Chebeya, là dernière, en dehors, le Major Christian et le Colonel Daniel commençaient déjà à se préparer pour l'assassinat.
À 18h 30', c'est le temps où on a exécuté BAZANA, parce que l'ordre était donné que toute personne qui accompagnerait CHEBEYA, que ça soit son épouse, son enfant, son père ou sa mère, il doit subir le meme sort que CHEBEYA. C'est ainsi qu'on avait exécuté BAZANA à 18h30'. Christian avec ses 8 policiers que je dois citer des noms sont entrés dans mon bureau brusquement pour récupérer CHEBEYA. Lorsqu'on descendait, c'est à partir de la réception qu'il a été cagoulé et ma caméra suivait tout ce mouvement, puisque ma caméra qui se trouve dans mon bureau captait à 200m aux environs de l'inspection Générale de Police. J'ai commencé maintenant à orienter la caméra de surveillance, jusqu'où se dirige avec monsieur Chebeya, au hangar là où le Général Numbi a l'habitude de parquer son véhicule. Je suis descendu, j'ai trouvé déjà BAZANA mort. CHEBEYA était encore vivant, on l'a étouffé avec 5 sachets, scotché. J'ai trouvé Chebeya entrain de respirer, et les policiers continuaient à l'étouffer. Il avait résisté vraiment, il était très fort.
J'ai appelé christian et lui ai dit : "qu'est-ce qui se passe au juste ? Ce Monsieur vous m'aviez dit qu'il va être reçu par le Général Numbi".
Il m'a dit : "mon Frère c'est un ordre militaire, ça vient de la hiérarchie, ça vient du sommet". Je lui ai demandé : "quel sommet parce qu'il n'y a que le Général Numbi et le Président". Il m'a dit : "vous avez deja cité les noms, on a exécute Chebeya. Monsieur il ne faut pas parlé parce que le consigne qu'on a reçu c'est de ne dire à personne".
Alors on a pris le corps de Chebeya on a mis ça dans la jeep . Ce que le Major Christian m'a dit, CHEBEYA a fait 25 minutes pour mourir, mais pour BAZANA 5 minutes. On a mis alors BAZANA dans le vehicule. Ils ont quitté l'Inspection Générale de la Police.
La décision était qu'on doit enterrer tout le monde. Mais arrivé à Mitendi, au lieu d'enterrer tous les deux, le Colonel Daniel a insisté encore qu'on doit laisser CHEBEYA, et enterrer BAZANA, on va dire que BAZANA est complice de cet assassinat. Christian a dit : "non, enterrons tous pour qu'il n'y ait pas de traces". Daniel a dit : "non on laisse CHEBEYA, on va dire que BAZANA a comploté pour sa disparition. Alors on a fait de la sorte.
Selon l'information que j'ai reçue de Major Christian, le Général Numbi a donné 2000 $ pour récompenser ces policiers pour boire, fêter. Ils ont fêté jusqu'à 04h du matin.
Je suis prêt à rentrer à Kinshasa même aujourd'hui témoigner et aller montrer là où on a enterré BAZANA, je suis prêt, je suis prêt de tout, mais que ma sécurité soit garantie par la communauté internationale, je n'ai pas peur, je suis parfaitement d'accord. Mais il faut faire attention avec le gouvernement Congolais, parce qu'on peut me condamner à mort et m'exécuter>>.
À VOUS LIRE CI-DESSUS, JE SENS UN BESOIN DE VOUS POSER UNE QUESTION CRUCIALE. LA VOICI DONC AUTOUR DE KABILA VOTRE 《dieu》!
EN QUOI ÊTES-VOUS DIFFÉRENT D'UN BÉBÉ DANS LE SENS PROPRE DU TERME ?
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●● Le bébé ne sait pas quoi faire d'autre que simplement être allaité par sa mère au biberon ou aux seins naturels de la mère et c'est tout !
●● En lieu et place de lait on peut donner l'eau sucrée au bébé il n'a pas de choix il va boire. Il n'a pas de choix. Il n'a pas de volonté. Il y a quantité d'éléments illimités pour vous expliquer cette notion mais est-ce nécessaire d'y aller à l'infini ? Non ! C'est élémentaire !
●● Bref, vous parlez de 《Paix》sur le compte de Kabila (sic) au Congo. Et que c'est pour cette raison que 《Kabila reste votre candidat aux élections présidentielles (sic) !》 Dites-vous ! C'est vide ou un non sens comme réflexion ! Ici il s'agit d'une injure suprême à l'intelligence de Congolais.
●● Habitez-vous sur quelle planete ? Faites-vous de lectures ? Si oui sont lesquelles ? Suivez-vous les nouvelles ? Sur quelle radio ou TV ? Etc.
●● Je crains que vous ne soyez un borné. Un limité. Quelqu'un à l'esprit grégaire prononcé ! Ce qui serait dangereux et gravissime !
●● Non ! Au Congo, Kabila n'est pas agent de 《Paix.》 Bien au contraire. Lisez les différents rapports des Ong spécialisés et vous vous cacherez dans la termitière sans nul doute ! Je ne vais pas vous mettre dans la chaumière ou case ! Pas du tout !
●● Dans cette optique de 《Paix》que vous parlez sans être attentif. Qu'est-ce que Béni ou Kasai versus 《Paix》pour vous ? Que de la violence au plurielle : viols sexuels, assassinats, tueries diverses et gratuites !
●● Sinon qui sont-ils les Chebeya, Rossy Mukendi, Bazana, Bapuwa, Tungulu ? Etc. Ces patronymes vous suggèrent quoi dans l'histoire politique très récente du Congo Kabila témoin ?
●● Lisez les rapports de hrw, les journaux locaux, radio okapi etc. vous cesserez d'être naïf et ignorant dans le domaine bien précis que vous semblez soulèver avec manque de jugement !
●● Par ailleurs, à bien vous instruire, votre Kabila ne peut être candidat aux présidentielles 2018. Car la Constitution ne le lui permet pas. Il le sait. Il a joué sans succès pour changer la Constitution à cette effet !
●● Voilà une des raisons pour lesquelles Boshab un enseignant de droit constitutionnel de son état est quasiment laissé en jachère sans fonctions autour de Kabila.
●● Instruisez-vous parfaitement dans le domaine. C'est dans le champ de l'article 220 de la Constitution du Congo promulguée en 2006 par Kabila lui-même.
●● Ici peut-être que vous pouvez saisir clairement le fait que vous évoquez que par comparaison ou par un parallélisme fort et puissant. Choquant :
●● Tenez : Obama était Président aux États-Unis d'Amérique pour un mandat de 4 ans fois 2 soit : 8 ans ! (Obama est entré en fonction de 2009 à 2017). C'est ça la lecture de la Constitution Américaine. De l'élémentaire à l'université tous savent lire et en interpréter à bon escient ! Il n'y a pas des bêtises.
●● Fini son terme, Obama s'en est allé. Il a une vie aujourd'hui après son mandat clair et net écrit dans la Constitution Américaine. Obama fait autre chose !
●● Il est heureux. Durant son mandat (à la Maison Blanche) il ne faisait pas des complots assassins contre la Constitution Américaine. Loin delà !
●● Or au Congo Kabila à échoué son mandat de 10 ans parce qu'il était plongé dans les intrigues de comment S'ÉTERNISER au pouvoir par devers la Constitution ! Un gros malhonnête ! Tenez :
●● À Addis-Abeba, en voyage, le 27 juillet 2015, Obama a enseigné en direct à Kabila, exclusivement, comment : lire et interpréter la Constitution au Congo ? Et cela un an avant la fin du mandat de Kabila au Congo. Kabila a-t-il compris l'enseignement d'Obama ? Rien !
●● Avant Obama, à la Maison Blanche, il y a eu un certain Bill Clinton et ce fut le même comportement comme Président Américain. Il a respecté l'esprit et la lettre de la Constitution Américaine.
●● Est-ce que c'est-ce que vous prêchez au Congo avec Kabila ?
●● Non ! Quittez le champ de la dictature ! Votre Kabila médiocre comme tout se doit de partir probablement pour reprendre le taxi si il n'en a BEAUCOUP pas volé (sic) : à la Trésorerie publique du Congo !
●● À ce point, attardons-nous y un peu pédagogiquement.
●● Vous avez des traditions dans votre culture (tribu) et vous les respectez (Je l'espère !) Ce sont ces règles je l'espère dis-je dans votre culture qui régulent l'ordre dans la tribu par exemple. La tribu évolue ainsi en Paix.
●● De manière pratico-pratique vos ancêtres par exemple n'épousaient pas leurs filles, leurs tantes que ça soit du côté maternelles ou partennelles.
●● Un frère ne peut épouser sa soeur, ni sa tante maternelle ou paternelle. Etc. (Je peux multiplier des exemples mais les uniques que je viens d'énumérer j'espère qu'ils vous aideront à saisir la profondeur du problème du respect constitutionnel au Congo.)
●● Si votre tribu et sa culture (entendez les règles établies en commun) n'existaient pas et n'étaient pas respectées ! Vos ancêtres auraient vécu comme des animaux :
●● Par exemple vous auriez assisté aux scènes bestialles telles qu'un papa couche avec sa fille ! Ou un frère qui épouse sa soeur. Etc. Etc.
●● Non il faut vivre dans une société où l'on respecte les règles établies. Kabila n'est pas dans la jungle où il ne doit pas respecter les règles ou les lois établies. Il doit respecter les Congolais.
●● Kabila a les penchants dictatoriaux. Il est constamment en mode de vouloir changer les règles sociétales pour assouvir ses propres sentiments égoïstes et décadents. La Constitution du Congo est claire et simple.
●● Instruisez-vous dans le domaine ! Pour lui Kabila, disons-le fort : il y a eu kyrielles d'enseignants, pour lui montrer comment lire et interpréter la Constitution :
●● Les John Kerry, Ross Feingold, Thomas Perreillo. Les Louis Michel, les Pape François à Rome. Etc. Kabila ne pige rien ! Il est ignorant de l'aspect de la préciosité de la Constitution dans un pays Congo.
●● Autrement dit, hélas, - Kabila n'est pas capable de piger quoi que ça soit ! Il est nul. Il entraîne des VENTRILOQUES comme vous à soutenir des bêtises ! Des idioties constitutionnelles ! Il tient aux illusions loufoques lui traversant l'esprit.
●● Bref, sous Kabila :《la paix》 n'existe pas au Congo ! Paix ? Est-ce une paix du coeur ou physique ?
●● Ni l'une ni l'autre n'existe pas ! Le congolais ne mange pas ! De plus il est tué. Il est assassiné partout au Congo. Les statistiques existent depuis 2001 date de l'accaparement du pouvoir par Kabila et ce jusqu'aujourd'hui 2018.
●● Consultez Human Rights Watch (HRW). Il a alerté le monde entier à chaque jour qui passe sur les masscres devenus une habitude au Congo. La mort de l'homme Congolais est banalisée par le régime Kabila. Il en a un gros plaisir.
●● Ah ! 《 Que Kabila est votre candidat aux élections présidentielles 2018 !》C'est de la foutaise !
●● La Constitution ne le lui permet pas. Il doit le savoir ! Il doit partir. Il a fini son mandat depuis le 19 décembre 2016. Obama, François Hollande. Etc. Ont quitté le pouvoir en regard de la Constitution de leurs pays respectifs.
●● Choquons-nous !Kabila ne peut pas épouser sa soeur et encore moins sa grand-mère ou quoi d'autre d'analogue.
●● Les règles coutumières ou culturelles ne lui permettent ou ne lui autorisent pas une telle folie ! Et pourquoi Kabila ne respecte pas les mêmes règles au niveau constitutionnel ?
●● Eh bien que Kabila respecte la Constitution du Congo comme il respecte sa coutume et que sais-je encore dans le domaine. L'exemple et l'esprit part de là !
●● Arrêtez-vous la folie collective des VENTRILOQUES derrières Kabila. C'est pas bien ! Et voilà qui serait hautement mieux.
●● Kabila n'est pas candidat aux élections 2018. Il entretient un flou hypocrite inutile. Dans son for intérieur il en éprouve de sommeils très agités !
