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12 mai 2017 5 12 /05 /mai /2017 09:35
Usurpation de la nationalite Congolaise par les terroristes tutsis 2eme partie 2/2
Suivez la premiere partie sur:
http://kongolibre.over-blog.com/2017/05/usurpation-de-la-nationalite-congolaise-par-les-terroristes-tutsis-2eme-partie.html

 

La République démocratique du Congo est une mère au ventre fécond et aux mamelles généreuses. De ce fait, elle a nourri de nombreux peuples de la terre, à commencer par ceux des pays voisins. Mais lorsqu'on a tété les seins de la mère Congo, on devient Congolais, on devient même un Muntu congolais et on cesse de se référer à son appartenance ethnique d'origine.

Il en est ainsi des descendants des lointains Togolais (voir les Eketebi et les Engulu) et d'autres enfants de parents étrangers, désormais totalement confondus avec les Bantous congolais. On en est loin avec les Tutsis. Pourquoi ? Parce que dès le début de l'immigration au Congo des membres de cette ethnie à partir de 1935, une seule idée leur trottait dans la tête à savoir, s'emparer des terres congolaises, créer un tutsiland ou foyer national tutsi aux dépens du territoire du Congo belge d'abord, de la république démocratique du Congo ensuite.

Les flux migratoires des Tutsis au Congo, les uns clandestins et illégaux (notamment ceux ayant impliqué des pasteurs nomades tutsis à la recherche, paraît-il, de verts pâturages pour leurs troupeaux de vaches); les autres officiels à la faveur de la MIB, (mission d'immigration belge au Congo) et comprenant des ouvriers pour les usines, des mineurs, des travailleurs agricoles, des agents administratifs et des étudiants tutsis rwandais; tout ce beau monde ne nourrissait qu'un seul dessein: se draper dans la nationalité congolaise pour, ensuite, trahir la même nationalité, confisquer les terres congolaises et fonder un pays dont la population serait exclusivement composée de Tutsis.

C'est ce procédé qui fut utilisé avec succès en 2002, lors du funeste dialogue congolais de Sun City au terme duquel, du jour au lendemain, un Tutsi rwandais dénommé Joseph Kabila se retrouva confirmé président de la République démocratique du Congo et un autre, appelé Azarias Ruberwa fut nommé vice-président chargé de la défense (ben voyons !!).

Plus tard, à la suite de nombreuses opérations de brassage au sein des FARDC, des milliers d'officiers et de soldats issus de milices armées tutsies rwandaises obtinrent la nationalité congolaise et furent admis à la tête ou au sein des plus hautes institutions nationales congolaises.

Actuellement, dans les rangs des forces armées congolaises, on ne compte pas moins de 9 généraux, 22 colonels et lieutenants colonels, 77 majors et plus de 330 capitaines, tous des Rwandais et tous exclusivement des Tutsis. Parmi eux, pas un seul Hutu rwandais. Et que dire de Charles Bisengimana, un Tutsi nommé par son frère ethnique directeur général de la police nationale ?

Et comment interpréter la mainmise des Tutsis sur les services étatiques stratégiques congolais comme la direction générale des impôts, comme le port de Matadi et comme l'OFIDA, office des douanes et accises ? Pourquoi n'y trouve-t-on pas, même dans une proportion insignifiante des Ougandais, des Tanzaniens, des Angolais, des Zambiens, autant de nationalités pourtant voisines et frontalières du Congo comme le sont les Tutsis rwandais ? Jusques à quand cherchera-t-on à prendre les Bantous congolais, qui sont les enfants du bon Dieu "pour des canards sauvages ?"

Parlons peu mais parlons net, dru et crû: depuis le 17 mai 1997, date de l'irruption de l'AFDL à Kinshasa et dans le paysage politique congolais, la présence des Tutsis chez nous revient à avoir jeté une pleine poignée de sable rwandais dans la marmite de riz congolais. Qui va consommer une telle mixture ? Dès lors, la nourriture politique congolaise est devenue immangeable tandis que, dans le même temps, la tragédie s'est installée durablement à l'intérieur des frontières congolaises.

Du reste, il existe un plan d'occupation du Kivu, élaboré par les Tutsis vivant au Congo dès 1962, et qui explique à lui seul tous les malheurs, toute la confusion et tous les millions de morts que nous déplorons depuis 17 ans. Le Tutsi n'est pas seulement le problème du Muntu congolais. C'est notre cauchemar. Il est la cause de toutes les misères qui nous accablent. Il faudra, le moment venu et toutes affaires cessantes, procéder à un "débrassage" intégral, général et impitoyable des Tutsis de toutes les institutions congolaises. C'est la condition sine qua non pour retrouver la paix, restaurer la sécurité et créer les conditions du développement économique et du progrès social au Congo.

Pas facile car, les Tutsis fonctionnent désormais comme une immense maffia internationale, comme une société du crime, organisé à l'échelle mondiale, possédant des agents, notamment féminins, dans toutes les grandes villes du monde, dans toutes les institutions des pays et dans toutes les organisations internationales. Les Bantous congolais doivent le savoir, se préparer en conséquence, prendre les mesures de sauvegarde et de prévention qui s'imposent s'ils veulent encore exister jusqu'à la fin du 21e siècle. Désormais, c'est leur survie qui est en jeu car, leur génocide a déjà été programmé par les multinationales minières, bancaires, pétrolières et industrielles qui ont instrumentalisé les Tutsis rwandais pour accomplir cette funeste et sale besogne. Les 8 millions de morts que pleurent les Bantous congolais doivent être mis au débit de la stratégie de leur annihilation. Malheur aux Bantous congolais si, pour leur salut, ils comptent sur M. Martin Koebler de la Monusco, sur l'Irlandaise Mary Robinson, sur l'Américain Russeil Feingold et sur tous les autres émissaires et envoyés spéciaux dépêchés au Congo mais qui ne connaissent strictement rien de notre pays et de notre peuple. Du reste, ils ne parlent et ne comprennent aucune de nos quatre langues nationales. Que dis-je, ils ne s'expriment même pas en français qui est pourtant une langue occidentale comme celles qu'ils utilisent eux-mêmes. Imaginez un peu l'envoi en Belgique d'un Congolais ne parlant ni ne comprenant pas un traitre mot en français ou en flamand et à qui il serait demandé de tenter de résoudre la querelle linguistique opposant Wallons et Flamands !!

Jamais à court d'imagination, les Tutsis qui manipulent également la Monusco ont inspiré à M. Martin Koebler un étrange discours où il est question de "décentralisation" et de plan Marshall pour le développement du Kivu. Il s'agit en réalité d'une lamentable stratégie de balkanisation du Congo cousue de câble blanc. Jamais leur funeste projet de dislocation de l'unité territoriale congolaise ne verra un commencement de réalisation. Malgré le milliard de dollars mis sur la table par Bill Gate pour financer cette entreprise de balkanisation rampante du Congo, tous les conjurés, notamment Bill Clinton, Tony Blair et les grands actionnaires des multinationales qui misent sur le dépeçage du Congo vont se retrouver bientôt le bec dans l'eau. Ils commettent l'erreur de confondre notre pays avec le Soudan.

Monsieur Kabongo, je vous présente mes civilités et, espérant que vous êtes un Muntu congolais, vous souhaite une année 2014 pleine de santé, de bonheur et de prospérité. Dans le cas contraire, si vous êtes un Tutsi dissimulé sous l'identité nominale d'un Muntu, je retire mes souhaits tout en demandant aux mânes de nos ancêtres de vous infliger dès le début de l'an nouveau le châtiment qui sied aux individus et aux peuples manquant de gratitude ainsi que de reconnaissance envers leurs hôtes. Nous avons offert aux Tutsis, pendant des décennies l'exil, le gîte et le couvert, nous les avons protégés, enrichis, rendus puissants et prospères. Et voilà qu'ils se retournent aujourd'hui contre nous pour nous poignarder dans le dos, pour tenter de balkaniser notre pays en servant de sous-traitants pour des puissances étrangères. Il existe un barème arrêté par la justice divine et prévoyant des souffrances indicibles pour la punition de tels individus.

Puisse les Tutsis du monde entier se convaincre qu'ils seront bientôt, dès 2014, convoqués devant le tribunal de l'Histoire pour répondre des atrocités et des abominations qu'à travers leurs milices armées extrémistes comme l'AFDL, le RCD-Goma, le CNDP et le M23, ils ont commises au Congo, dans le pays dont le peuple eut la naïveté de les prendre pour des frères et de les traiter en conséquence.

A bon entendeur, salut !!

KWEBE KIMPELE

Liège, le 6 février 2014.

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